Une mobilisation exceptionnelle contre la construction sur des terres agricoles dans le Val-d’Oise

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Une nouvelle fois, ils se regroupent.

Samedi 29 septembre, le Collectif pour les terres de Gonesse (Cptg) organise une nouvelle manifestation contre l’artificialisation de terres agricoles dans le Val-d’Oise.

Le tout, pour une raison simple, selon eux :

Parce qu’il est encore temps de sauver les champs du Triangle du béton.

Collectif pour les terres de Gonesse (Cptg) 

Une marche

Les manifestants se rendront ensemble de la gare du Rer D Villiers-le-Bel/Gonesse/Arnouville jusqu’au Triangle.

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Le rendez-vous est donné à 11 h, près du marché d’Arnouville,avenue Denis-Papin.

L’évènement débutera par un mot d’accueil de quatre habitantes de Villiers-le-Bel et Gonesse qui, depuis des années, » défendent les terres nourricières proches de leur domicile », ajoute le Cptg.

Par la suite, plusieurs élus, parlementaires et conseillers régionaux, prendront la parole.

Les élus montent au créneau

Parmi eux, Carlos Martens Bilongo, député (Nfp-Lfi) de la 8e circonscription du Val-d’Oise, « où se trouve la friche hospitalière cédée à Grand Paris Aménagement, alors qu’elle pourrait, mieux que le Triangle, accueillir la cité scolaire », explique le collectif, exprimera sa position sur le sujet.

Gabrielle Cathala, députée (Nfp-Lfi) de la 6e circonscription, Aurélien Taché, député (Nfp-Lfi) de la 10e circonscription, ainsi que Pascal Bertolini, conseiller départemental écologiste du Val-d’Oise, ont également promis de s’exprimer au sujet des terres de Gonesse.

Un scientifique s’exprimera aussi, en faveur de la préservation des terres.

Il s’agit de Robert Levesque, ingénieur agronome, président d’Agter et ex-directeur de Terres d’Europe Scafr (Société centrale d’aménagement foncier rural).

Des associations « hausseront aussi le ton », souligne le Cptg, entre Vivre sans Bip, l’association des usagers des transports, le réseau salariat ou encore la conserverie solidaire, entre autres.

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