C’est une petite révolution pour la viticulture. Aussi étonnant que cela puisse paraître, peu d’études scientifiques ont montré avec précision quelles pratiques agricoles permettaient d’augmenter le stockage du carbone dans les vignobles, contrairement aux forêts ou aux autres terres cultivées. Et pour cause, on compte seulement une dizaine de tours à flux installées sur des vignes dans le monde, avec très peu de données en ligne. Cet instrument permet de mesurer l’échange net de l’écosystème (soit la balance entre les entrées et sorties de carbone). Et la première tour à flux appliquée à la vigne en France est en train d’être installée à Rully, en Saône-et-Loire, dans un vignoble expérimental exploité par la Chambre d’agriculture de Saône-et-Loire.
Aux manettes de cette expérimentation : une équipe de scientifiques du laboratoire CNRS/uB/EPHE Biogéosciences de l’Université de Bourgogne . « Cela va nous permettre de décrypter ces échanges sur un temps long et de comprendre comment ils fonctionnent, à quel moment de l’année la vigne stocke plus ou moins », explique le climatologue Julien Crétat.
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