Ecologie radicale : les Soulèvements de la Terre annoncent des « actions directes de masse » pour les prochains mois

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Le mouvement écologiste prévoit notamment de retourner à Sainte-Soline, lieux de violents affrontements en mars 2023, à la fin du mois.

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France Télévisions

Publié le 19/03/2024 20:57

Temps de lecture : 1 min

Un militant des Soulèvements de la Terre, à Paris, le 21 janvier 2024. (FIORA GARENZI / HANS LUCAS / AFP)

Le collectif écologiste radical des Soulèvements de la Terre, que le gouvernement a cherché à dissoudre en vain l’an dernier, a annoncé mardi 19 mars un calendrier « d’actions directes de masse » pour ces mois prochains, dont un retour à Sainte-Soline et une nouvelle mobilisation contre l’A69.

Le mouvement a annoncé dans un communiqué « le calendrier de sa septième saison d’actions directes de masse pour la défense des terres et de l’eau : blocages, occupations, désarmements pour les cinq mois à venir ». « D’avril à fin août, les rendez-vous de convergence nationale et internationale vont se succéder afin d’articuler luttes paysannes et écologistes, résistances locales et alliances pour la justice sociale », poursuit-il.

Ce calendrier débute par un appel à converger à proximité de « Sainte-Soline, un an après », du 22 au 31 mars. La commune des Deux-Sèvres avait été l’an dernier le théâtre de violents affrontements entre gendarmes et opposants aux « mégabassines », ces retenues d’eau dédiées à l’irrigation agricole.

Les Soulèvements de la Terre prévoient également une mobilisation en mai à Gennevilliers (Hauts-de-Seine) contre un projet de plateforme logistique ou encore un retour en juin sur le chantier de l’autoroute A69 entre Castres et Toulouse.

Le gouvernement avait engagé une procédure de dissolution du collectif à la suite des affrontements de Sainte-Soline. Mais le Conseil d’Etat lui avait infligé un camouflet en novembre en annulant cette décision. « Le Conseil d’Etat estime qu’aucune provocation à la violence contre les personnes ne peut être imputée aux Soulèvements de la Terre », a tranché la plus haute juridiction administrative française.

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